Écrire sur la question des inégalités entre hommes et femmes dans notre cher secteur culturel est une activité qui ne connaît pas la crise mais qui requiert malgré tout une certaine endurance.
Il y a deux ans, en janvier, ma première tribune publiée en ligne appelait à rien de moins qu'une « révolution copernicienne ». Il s'agissait d'encourager tous les acteurs œuvrant dans et en faveur de l'espace public à favoriser la transversalité et le décloisonnement.
Une grande table autour de laquelle une bonne quarantaine de personnes sont installées. Nous sommes dans les jardins partagés du Belvédère, boulevard d’Hanoï, à Marseille, un endroit aménagé depuis 2013 avec l’aide du centre social du quartier afin de créer du lien entre les différents ensembles d’habitats avoisinants.